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Chloé Bidoret, nouveau membre du Conseil d’Administration du District des Landes, exerce la fonction de secrétaire au sein de son club du FC Amou/ Poudenx. Au District des Landes de Football elle sera en charge du recrutement, de la formation et de la fidélisation des jeunes dirigeants !

Un investissement total avec de nombreuses responsabilités pour cette jeune femme tout juste diplômée. Elle nous fait part de ses différents rôles qu’elle exerce et revient pour nous sur son ascension dans le football landais. Rencontre.

Bonjour Chloé, pour commencer, comment allez-vous ?

Chloé Bidoret : « Bonjour, je vais très bien malgré la période délicate que nous sommes en train de vivre. »

Quel est votre rôle de secrétaire au sein de votre club du FC Amou/Poudenx ? Comment êtes-vous venue à vous investir dans le club ?  

Chloé Bidoret : « J’assure toutes les fonctions que le/la secrétaire doit assumer au sein de son club à savoir la gestion des licences, la communication des différentes informations aux licenciés et bénévoles du club, la préparation et les comptes-rendus de réunion et bien d’autres missions de tout bénévole.

Pour la petite anecdote et pour faire lien avec la deuxième question, mon premier rôle était celui de ramasseuse de ballon… Dès mon plus jeune âge et en suivant les traces de mon père, j’ai pu occuper plusieurs postes (plus ou moins importants, je vous l’accorde) au sein du FC Poudenx. Club de mon enfance qui, après 3 années d’entente avec le FC Amollois, fusionnera en 2018 pour former le FC Amou/Poudenx dont je suis aujourd’hui la secrétaire. »

Racontez-nous votre ascension dans le football landais. En effet, depuis le 12 septembre 2020 vous faites partie du Conseil d’Administration du District des Landes de Football.

Chloé Bidoret : « Tout s’est enchaîné rapidement me laissant à peine le temps de prendre conscience de ce qu’il m’arrivait. Courant 2019, j’ai eu la chance d’être bénévole au Festival U13 Pitch qui a lieu depuis plusieurs années à Capbreton, puis pour d’autres actions et événements du District ou de la FFF.  Ensuite, j’ai eu la surprise et l’honneur d’être contactée par Loreto pour intégrer la liste et candidater au Conseil d’Administration. »

Vous êtes la plus jeune membre du Conseil d’Administration, quel effet cela fait-il ? Aviez-vous une sorte d’impression à l’idée d’être membre élue. ?

Chloé Bidoret : « Je dois avouer que c’est assez impressionnant alors que je suis aussi la benjamine de mon club. Mais ici, la dimension est différente et je ne pourrais pas dire les effets que cela me fait, car ils sont trop nombreux. Avant d’accepter ce projet, je me suis posée beaucoup de questions du fait de mon jeune âge et des responsabilités qui me seraient confiées. Mais, si je dois résumer mon sentiment actuel, je dirais que : d’un côté, je suis honorée et flattée de faire partie de cette belle équipe, de l’autre, que la période actuelle me frustre et j’ai hâte d’aller à votre rencontre. Passer de mon « petit » club de Chalosse au Conseil d’Administration du District des Landes de Football, c’est une sacrée aventure que je ne pouvais refuser. »

Pouvez-vous nous expliquer votre rôle au sein du District des Landes de Football ?

Chloé Bidoret : « Avec le soutien de Ludovic Escalle, j’ai pour mission de créer un Conseil de Jeunes Dirigeants. Notre but sera de former, puis fidéliser un groupe de jeunes dirigeants en les impliquant au niveau départemental. Ensemble, nous développerons des actions au sein des clubs pour à leur tour, intéresser, recruter et fidéliser des jeunes bénévoles. »

Enfin, avez-vous un petit message à faire passer au football landais ? 

Chloé Bidoret : « « Dans chaque épreuve, ne cherchez pas l’ennemi, cherchez l’enseignement ». Cette période est loin d’être agréable, mais oblige nos clubs à innover et se réinventer pour garder les liens qui nous unissent. A mon sens, l’enseignement est là et je suis confiante pour la suite. »

Face aux conséquences économiques causées par la crise sanitaire de la Covid-19, de nombreuses aides financières sont proposées aux clubs F.F.F.

La Fédération Française de Football, propose des aides financières pour développer un projet, construire ou rénover une infrastructure, créer un nouvel emploi et se former.

De nombreuses questions se posent :

• Connaissez-vous toutes ces aides ?
• Comment et quand monter un dossier ?
• À qui le déposer ?

La F.F.F répondra à toutes vos questions dans le webinaire proposé ce jeudi 10 décembre 2020 de 17h à 18h. Veuillez trouver le lien d’inscription ci-dessous.

Webinaire FFF – Jeudi 10 décembre 2020

 

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Tutoriel : Comment faire vos démarches en ligne ? 

« Un Coup de Foot », le podcast du football landais en partenariat avec la radio MDM, épisode 3 à la rencontre du Seignosse Capbreton Soustons Football Club. François Départ et le District des Landes de Football sont allés à la rencontre de Jean-Marc LENORMAND (à gauche de la photo), Co-Président du club du SCS FC qui revient pour nous sur la reprise tant attendue des jeunes de l’école de foot ! Retrouvez l’interview complète et toute l’actualité du SCS FC sur le podcast « Un coup de Foot ».

Jean-Marc, l’actualité du moment, c’est la reprise pour l’école de foot, pouvez-vous nous raconter comment s’est déroulée cette reprise ?

Jean-Marc LENORMAND : « Nous attendions cela avec impatience ! Les jeunes de l’école de foot ont repris les entraînements ce mercredi 02 décembre 2020, des U7 jusqu’aux U17. Certes, nous devons faire face à un protocole avec quelques contraintes, mais les jeunes pourront néanmoins sortir de chez eux et toucher le ballon. C’était important pour nous que l’activité foot redémarre. »

Justement, en parlant de l’école de foot, le SCS FC a l’une des plus importantes écoles de foot du département en terme de licenciés, si ce n’est la plus grande, pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

Jean-Marc LENORMAND : « Effectivement, nous comptons au sein du club 540 licenciés, et de tête nous sommes entre 350 et 450 licenciés rien que pour l’école de foot. Nous avons profité de la Coupe du Monde il y a deux ans afin d’étoffer nos rangs. Nous avions cependant peur que cela s’essouffle, mais nous avons la chance de pouvoir compter sur des éducateurs formés, ce qui nous a permis de garder cet effectif important. Nous misons beaucoup sur cette école de foot afin de nous appuyer sur ces futures générations pour faire progresser le club et l’équipe première. »

Vous étiez prêts pour le jour J, vous aviez en effet maintenu ce lien pour préparer ce jour de reprise via notamment les réseaux sociaux. Qu’avez-vous mis en place ?

Jean-Marc LENORMAND : « Nous avons la chance d’avoir de jeunes licenciés éducateurs qui maitrisent parfaitement les réseaux sociaux. Ils ont su créer des liens et les entretenir en proposant des événements (le tournoi FIFA 21) et en mettant en place des défis, des challenges permettant ainsi aux jeunes de communiquer et de rester en contact. »

Du côté des dirigeants, comment avez-vous travaillé ? Quelle organisation avez-vous mise en place pour continuer à prendre des décisions et faire face à la situation par rapport aux licenciés, bénévoles et partenaires ?

Jean-Marc LENORMAND : « Premièrement, sur le plan sportif, nous avons une commission qui a continué à rencontrer les éducateurs et à garder un lien avec les joueurs. En ce qui concerne les partenaires, nous avons un jeune salarié qui s’occupe de la partie partenariat. Nous avons décidé de proposer des tarifs préférentiels afin de ne pas briser le lien. Notre association est très bien organisée pour passer ces événements difficiles même si travailler sans présentiel est difficile. Il nous tarde de pouvoir nous retrouver autour de la table et prendre des décisions. »

Quelles sont les ambitions du Seignosse Capbreton Soustons Football Club pour cette année et les années à venir, nous sentons qu’il y a une montée en puissance ?

Jean-Marc LENORMAND : « D’une manière générale, notre ambition est de développer et professionnaliser notre école de foot et en faire le réservoir de demain. Sur le plan des Seniors, l’objectif de cette saison est bien évidement le maintien, ce qui serait une très belle performance. Nous avons également pour objectif de faire monter l’équipe réserve en R3. »

Le plaisir de se retrouver, ce sera aussi ça le message à faire passer.

Jean-Marc LENORMAND : « Oui, nous avons envie de revoir tout le monde, de retrouver nos partenaires, nos adversaires et prendre du plaisir. Malgré toutes les difficultés que nous rencontrons, et au vu du nombre de licenciés au SCS FC, nous nous disons que le football dans les Landes a de beaux jours devant lui. Comme je le disais, nous avons l’ambition de rester en R2, mais nous avons vocation d’aller plus haut. »

Devant la multitude d’informations que les clubs reçoivent actuellement, parfois contradictoires, souvent difficiles à interpréter, vous êtes nombreuses et nombreux à nous interroger pour savoir ce qu’il est possible de faire ou pas et dans quelles conditions au niveau de la reprise d’activités des licenciés.

Pour être le plus clair possible :

• Le décret N° 2020-1454 du 27 novembre 2020 précise que la pratique des sports collectifs et de combats pour les adultes est interdite. Toutefois il faut entendre par pratique collective les sports collectifs dans leurs pratiques usuelles. C’est à dire les jeux d’oppositions, les matches, les duels, etc… qui ne permettent pas la distanciation physique d’au moins 2 mètres entre les pratiquants.
  Ce qui implique que seules la préparation physique, la réathlétisation et la technique individuelle sont autorisées. C’est d’ailleurs le sens du protocole fédéral qui a été présenté et que vous pouvez retrouver dans le lien suivant : https://www.fff.fr/actualites/196006-les-modalites-pratiques-de-la-reprise?themePath=la-fff/
• Pour les pratiquants mineurs, les mêmes dispositions s’appliquent.
• Les vestiaires collectifs pour les associations sportives et autres clubs amateurs, demeurent fermés. Le décret N° 2020-1454 du 27 novembre 2020 a été modifié aujourd’hui pour que les scolaires, les athlètes de Haut-Niveau , les professionnels, les stagiaires en formation professionnelle et les publics handicapés puissent de nouveau accéder aux vestiaires.
• Important – Port du masque:  Pendant leur pratique sportive, les licenciés ne sont pas soumis à l’obligation du port du masque lorsque l’activité pratiquée ne le permet pas (en cas de ventilation trop importante en particulier). En revanche, en dehors des temps de pratique sportive, le port du masque est obligatoire pour les éducateurs pendant les séances, pour les dirigeants, pour toute personne prenant part à l’accueil ainsi que pour les mineurs de six ans ou plus. Il appartient aux responsables légaux de fournir les masques à leurs enfants. Pour les éducateurs et dirigeants, les masques sont fournis par l’organisateur ou l’association sportive. Celui-ci doit, de plus, prévoir pour chaque accueil au sein des ERP une réserve de masques afin qu’ils puissent être fournis aux mineurs qui n’en disposeraient pas.

 

L’ensemble de ces préconisations doit être respecté jusqu’au 15 décembre 2020.

 

Concernant l’ouverture des installations sportives au public, il n’appartient pas aux instances fédérales de prendre une telle disposition qui relève de la seule responsabilité du propriétaire. L’attention de Madame la Préfète des Landes a été attirée sur le refus de certaines municipalités d’ouvrir leurs complexes sportifs (à l’exception des vestiaires) jusqu’à réception d’une décision gouvernementale autorisant notamment la pratique des adultes ; Je suis dans l’attente d’une réponse.

D’ici le 15 décembre, date à laquelle nous pourrions connaître un nouvel assouplissement des règles sanitaires en vigueur, je vous conseille la plus grande prudence et vous invite à respecter strictement les protocoles fédéraux.

Je sais pouvoir compter sur votre habituel accompagnement comme vous pouvez compter sur le soutien de tous les élus du football landais.

Bon courage à vous toutes et tous.

Bien cordialement.

 

Loreto GUAGLIARDI

Président DLF.

Le Comité Exécutif de la Fédération, dans sa séance du 25 Novembre 2020, a adopté des mesures dérogatoires sur l’application du Statut de l’Arbitrage pour la saison 2020/2021 :

« Le Comité Exécutif,

Compte-tenu de la crise sanitaire qui perdure et de la période de confinement déjà subie à ce jour, sans préjuger d’autres éventuelles à venir,

Rappelé l’article 18 des Statuts de la FFF qui prévoit que le Comité Exécutif « statue sur tous les problèmes présentant un intérêt supérieur pour le football et sur tous les cas non prévus par les statuts ou règlements »,

Rappelé par ailleurs l’article 3 des Règlements Généraux de la FFF qui prévoit que « le Comité Exécutif peut, en application de l’article 18 des Statuts, prendre toute mesure modificative ou dérogatoire que dicterait l’intérêt supérieur du football », Page 2 PV COMEX du 25 novembre 2020.

En application de ces deux textes, prononce déjà les mesures dérogatoires suivantes en matière d’arbitrage :

– Repousse la date d’examen de la situation des clubs du 31 janvier au 31 mars pour permettre aux instituts de formation d’organiser les sessions de formation qu’ils n’ont pas pu mettre en place pendant le confinement ;

– Recule la date fixée par l’article 49 pour la publication des listes des clubs en infraction, du 28 février au 30 avril ;

– Repousse la date pour comptabiliser le nombre de matchs effectués par les arbitres, du 15 au 30 juin. »

Autrement dit, les clubs, qui seraient en difficulté pour atteindre leur quota d’arbitres, ont désormais jusqu’au 31 mars inclus pour former de nouveaux arbitres via les FIA.

Les dates d’examen des Commissions du Statut de l’Arbitrage sont ainsi repoussées au 30 Avril 2021 pour la 2^ème situation puis au 30 Juin 2021 pour la 3^ème et dernière situation.

Patrick GUAGLIARDI, 1er vice-président du District des Landes de football, exerce aussi la fonction de délégué officiel LFP (Ligue de Football Professionnel) depuis de nombreuses années. Pendant cette période difficile que nous vivons, il fait partie des acteurs du football landais en activité. Il revient pour nous sur son rôle, la situation actuelle et les contraintes auxquelles il doit faire face. Rencontre.

Bonjour Patrick, pour commencer, comment allez-vous ?

Patrick GUAGLIARDI: « Bonjour, je vais très bien, je vous remercie. »

Quel est votre rôle de délégué officiel LFP (Ligue de Football Professionnel)?

Patrick GUAGLIARDI: « Représentant la Ligue de Football Professionnel, le délégué est responsable de la bonne organisation des rencontres et de l’application du Règlement des Compétitions et à ce titre, il est accrédité par la Ligue de Football Professionnel pour accéder au stade et à toutes ses zones d’organisation. »

Pouvez-vous nous raconter votre quotidien avant et pendant les matches ? Quel protocole est mis en place ?

Patrick GUAGLIARDI: « En principe, j’arrive dans la ville de la rencontre la veille du match. Le délégué est présent au stade afin d’y mener notamment une réunion préparatoire à l’organisation du match avec le Directeur Sûreté et Sécurité du club visité, au moins quatre heures avant le coup d’envoi en Ligue 1 Uber Eats et trois heures en Ligue 2 BKT, voire exceptionnellement le matin du match, à la demande de la Commission des Compétitions.

Lorsque le match est télévisé, le délégué organise une réunion de 2 heures avant le coup d’envoi avec les médias accrédités, assistés du média manager, afin de leur rappeler les obligations de la charte audiovisuelle.

La feuille de match informatisée est établie par les délégués de la Ligue de Football Professionnel.

Pendant la rencontre, mon collègue est présent sur le banc de touche des officiels (4°arbitre, commissaire du club visité).

Dès le début de la rencontre, je rejoins mon emplacement réservé en tribune. Je dois m’assurer de visu et par l’écoute, ou à l’appui de photos prises, de tout débordement dans le stade (banderoles hostiles, chants à caractères racistes et /ou homophobes. »

Quelles sont les contraintes liées au contexte actuel auxquelles vous devez faire face ?

Patrick GUAGLIARDI: « En cette période sanitaire dégradée, et comme toute personne autorisée à accéder à la zone vestiaires, j’ai obligation de me faire tester Covid 19 avant chaque rencontre.

De plus, les médecins des deux équipes (joueurs + dirigeants) ainsi que les arbitres du match sont tenus de m’envoyer, au plus tard 5h avant le début du match , leurs attestations négatives aux tests PCR.

Le responsable COVID du club visité est aussi tenu de s’assurer des attestations de toute autre personne accédant à la zone vestiaire (commissaires du club, journalistes, personnels de sécurité etc…) »

Comment vivez-vous la situation sans spectateurs ?

Patrick GUAGLIARDI: « Il est très difficile de s’habituer à cette situation. J’ai l’impression d’assister à une séance d’entrainement un soir de semaine. L’enceinte du stade parait triste, sans ferveur et liesse apportées par les supporters. »

Comment les acteurs du terrain ressentent ce manque de supporters ?

Patrick GUAGLIARDI: « Je pense, que comme tout acteur du football, il leur est difficile de pratiquer notre sport sans supporters, sans « pression positive ou négative », où tout s’entend sur le terrain. »

Enfin, avez-vous un petit message à faire passer au football landais ? 

Patrick GUAGLIARDI: « Dans cette période difficile et compliquée que nous traversons, soyez assurés que le Président du District des Landes, le Conseil d’Administration , les salariés et les membres des commissions sont et resteront aux côtés de tous les clubs. Nous sortirons plus forts de cette pandémie. »

Samedi dernier, à l’occasion de l’Assemblée Générale de la Ligue de football Nouvelle Aquitaine convoquée de façon dématérialisée pour désigner la délégation qui représentera le football régional dans les futures Assemblées fédérales, le binôme landais composé du président, Loreto Guagliardi, titulaire et du président délégué, Didier Lumalé, suppléant, a été élu à une très large majorité. Les deux dirigeants qui porteront la voix du football départemental remercient bien sincèrement les clubs de leur confiance. 

Le Président Loreto Guagliardi s’est rendu cet après-midi sur les installations du Beillet à Mont-de-Marsan pour s’assurer de la bonne mise en oeuvre des protocoles de reprise en faveur des plus jeunes licenciés. Il y a notamment rencontré le RTJ de l’US Marsan, Dominique Boinot, très heureux de retrouver ses jeunes pousses U8/U9: « Ils sont un peu dissipés mais tout va rapidement rentrer dans l’ordre. Ils sont vraiment contents de se revoir ». Un peu plus loin, c’est le président Jacques St-Germain en personne qui assurait la séance U6/U7 à la tête d’une douzaine de jeunes licenciés: « Quel plaisir de revenir sur le terrain. Je commençais à tourner en rond et le football me manquait vraiment. » Les parents, bien à l’écart de la main courante, étaient tous revêtus du masque réglementaire. Ils ont pu observer leurs enfants tout à la joie de frapper dans le ballon en attendant de retrouver le vrai plaisir du match. A noter que deux jeunes éducatrices, Elsa et Sabrina,   participaient à l’encadrement des enfants cet après-midi ; Nous les félicitons bien vivement pour leur engagement et les incitons à poursuivre leur cursus de formation.